Pdf téléchargement gratuit -Les conséquences économiques de la paix- [PDF] Collection
Lire le livre -Les conséquences économiques de la paix [PDF] Collection
Enjoy, You can download **Les conséquences économiques de la paix- Pdf téléchargement gratuit Now
Click Here to
**DOWNLOAD**
Une expérience unique un typique propres produits aujourd'hui ornent le jour - jour sidéral. Les conséquences économiques de la paix est certainement un produit l'exacte est pas beaucoup très limitée. Le processus de marché demande tellement, il pourrait faire Les conséquences économiques de la paix vendus superficiellement. Les conséquences économiques de la paix est construite Complete détails pour contrivance en cours d'utilisation. Un composante , qui a une haute haute Taste perception , de sorte que vous êtes confiant sécurisé en usage. Les conséquences économiques de la paix I haute suggère fortement et étudiants aussi Il est recommandé
Disponible maintenant pas cher spéciale facilement Frais de port. Je suis extrêmement très avec son Propriétés et recommander quelqu'un Recherche pour Top Qualité item avec dernière en raisonnable . vérification de certificat de Acheteur vous pouvez lire pour en savoir plus travers son expérience. Les conséquences économiques de la paix merveilles a travaillé pour moi et je l'espère désir serait se demande sur vous. Pourquoi drop plus temps? Have Fun , comprendre où vous achetez acheter le meilleur que
. La plupart Les gens parlent commentaires que le Les conséquences économiques de la paix sont bagages magnifique. En outre, il est un très bon produit pour le prix. Son grand pour la colonie sur un budget serré. Weve trouvé avantages et les inconvénients de ce type de produit. Mais dans l'ensemble, il est un produit suprême et nous recommandons ce bon! Toutefois, si vous savez plus de détails sur ce produit, afin de lire les rapports de ceux qui ont déjà utilisé.
Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #59485 dans eBooks
- Publié le: 2017-05-18
- Sorti le: 2017-05-18
- Format: Ebook Kindle
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
22 internautes sur 23 ont trouvé ce commentaire utile.
Une remarquable édition de deux ouvrages essentiels
Par un lecteur de Croissy sur Seine
Excellente idée de publier dans le même ouvrage les "Conséquences économiques de la paix" de Keynes et les "Conséquences politiques de la paix" de Bainville puisque l'ouvrage de ce dernier fut écrit quelques mois après le premier (c'est à dire immédiatement après la fin de la première guerre mondiale) et en réaction à celui-ci. Les "Conséquences économiques..." sont publiées dans une édition critique passionnante inspirée par la thèse écrite dans l'immédiat avant guerre (la deuxième guerre mondiale) par un jeune français mort en combattant pour la France libre. Les "Conséquences politiques.." sont dans une version quasi brute, mais l'ouvrage continue à être passionnant en lui même, puisque par sa seule connaissance de l'histoire et un raisonnement d'une logique implacable Bainville avait tout prévu dès 1920 : le basculement de l'Italie dans le camp de l'Allemagne, la dictature dans ce pays, la période où celle-ci arriverait, etc...La seule chose que Bainville n'annonçait pas est le nom du dictateur. Les deux ouvrages restent essentiels pour comprendre l'Europe actuelle.
19 internautes sur 23 ont trouvé ce commentaire utile.
Bainville : quelle exception !
Par Latour07
Juxtaposer les deux textes, le premier écrit par l'économiste anglais Keynes et le second par l'historien politique et prophète Bainville permet de saisir deux philosophies différentes :1/ la première, inspirée de la volonté de réaliser au plus vite des affaires pour le bien de la Couronne Britannique, des hommes d'affaires anglais, fut catastrophique sur le plan politique d'une part et nulle sur le plan économique. Catastrophique car les Anglais et leurs alliés de circonstance américains n'eurent de cesse de militer contre le paiement pourtant dû car acté dans le "Traité de Versailles" des réparations par les Allemands. Fauteurs responsables de la Première Guerre Mondiale, les Allemands saccagèrent près de un tiers du territoire français. Alors que les Allemands avaient exigé des rançons à l'issue de la funeste période des 100 jours de Napoléon I, puis de la défaite de Napoléon III en 1871, à nouveau, les Français s'exécutèrent, malgré l'énormité demandée, la misère (surtout dans les débuts de la Restauration) avec ponctualité. Alors que la France a toujours su honorer ses engagements, il est important de se rappeler que l'Allemagne ne le fit jamais sur ce plan. La démolition du Traité de Versailles, avec le concours des anglo-américains et la complicité des pacifistes français emmenés par le terrifiant Aristide Briand, encouragèrent et réconfortèrent les Allemands dans leur refus de payer ce qu'ils devaient à la France. Cet argent non dépensé servira très vite, après l'évacuation de la Rhénanie par les Français, au réarmement accéléré de l'Allemagne et au confort de la politique de Adolf Hitler. Keynes, avec le ton superbe du professeur d'économie nous livre donc un exercice faux dans tous les sens.2/ Jacques Bainville au contraire prédit ce qu'il adviendra avec une justesse de ton qui conduit le lecteur intègre à se poser les questions suivantes : pour quelles raisons n'a-t-il pas été entendu ? suivi ?"Les conséquences politiques de la paix"Jacques Bainville a écrit "Les conséquences politiques de la paix" dans l'immédiat de la signature du traité de Versailles complété de ceux de Saint Germain, Trianon, Neuilly et Sèvres en 1920. Il est toujours saisissant d'être le témoin d'une intelligence exceptionnelle. Ce livre vous offre cette exception. Jacques Bainville en prophète de l'histoire (chroniqueur à L'Action Française et au Figaro), royaliste, déduit et décrit par le menu toute l'histoire du drame de l'effondrement des Balkans, de la naissance d'un socialisme nationaliste en Allemagne, de l'Anschluss, du dépeçage de la Tchécoslovaquie, de l'alliance germano-soviétique et hélas, la programmation de la seconde guerre mondiale. Ce livre aurait pu être écrit en 1949. Bainville n'avait pas besoin de vérifier sa brillante analyse. Il mourut en 1936.Démonstration :"Il y a des causes, expliquait l'auteur, dont les effets sont tellement sûrs, qu'il faut presque le vouloir pour ne pas en voir d'avance le rapport (...). Cet ouvrage est surtout formé d'analyses et d'hypothèses déduites de ces analyses".En affirmant avec justesse sa différence d'analyse d'avec Keynes (qui en tant qu'anglo-saxon militait pour le rétablissement rapide de l'économie allemande, de sa puissance, au détriment du paiement de ses obligations envers la France signées dans le Traité de Versailles), Les Conséquences économiques de la paix) il écrivait :"S'il y a lieu d'être pessimiste pour l'Europe après le traité, c'est à un autre point de vue que celui de Keynes. Le chaos économique est profond. Mais le chaos politique l'est plus encore. L'indicible misère de la Russie bolchévique a-t-elle empêché l'Armée rouge de se battre ? (...) Auprès de cette mêlée des nationalités, des religions et des races, il reste l'Allemagne, seule concentrée, seule homogène, suffisamment organisée encore, et dont le poids, suspendu sur le vide de l'Europe orientale, risque de faire basculer un jour le continent tout entier. Et toutes les considérations des économistes ne changeront rien aux effets de ce déséquilibre essentiel." Bainville avait résumé l'essence du Traité par ces mots, souvent repris, cette paix "trop douce pour ce qu'elle a de dur, et trop dure pour ce qu'elle a de doux" :"Trop douce" parce qu'elle conserve à l'Allemagne l'instrument de sa puissance politique : un Etat unitaire : "Le traité enlève tout à l'Allemagne, tout sauf le principal, sauf la puissance politique, génératrice de toutes les autres : il lui laisse un Etat central, qui dispose des ressources et des forces de soixante millions d'êtres humains et qui sera au service de leurs passions." Mais trop "dure" aussi, par les humiliations inutiles qu'elle lui impose : amputation de territoires historiquement allemands, désarmement, et, surtout, paiement d'énormes réparations au titre de l'article 231 du traité de Versailles, qui affirme la responsabilité unilatérale de l'Allemagne et non de la Prusse seule dans le déclenchement du conflit. Comme le précise l'auteur, "c'est la nature même de colonisation et de conquête, qui a créé le militarisme prussien. Or, la Prusse d'aujourd'hui, c'est l'Allemagne. Le traité de Versailles les confond, le militarisme allemand est intact et 'il ne manquera que l'occasion et l'homme qui mettront ce militarisme en mouvement' (Bainville). Comment ne pas penser à Hitler !..." p.74Aussi, constate Bainville, tout a été fait pour inciter les Allemands à prendre leur revanche, sans qu'aucune puissance en Europe puisse les en dissuader, la parcellisation du reste du continent rendant l'existence d'une telle puissance improbable."Regardez cette carte si parlante : accroupie au milieu de l'Europe (...) l'Allemagne n'a qu'une griffe à étendre pour réunir de nouveau l'îlot de Königsberg. Dans ce signe, les prochains malheurs de l'Europe et de la Pologne sont inscrits."Jacques Bainville précisera :"L'Europe du traité de Versailles est constituée en dépit du bon sens. Voilà la vérité. C'est la maison sans fondations et sans escalier. Le désordre de leurs idées se retrouve dans leur construction. Il était facile de se moquer des vieux principes de l'équilibre. Mais quand la construction bascule dans le trou de l'Est, c'est la France qui est suspendue, dans le vide.Les auteurs de la paix avaient cru combiner le principe des nationalités avec le principe de l'équilibre. C'était la théorie de la `barrière'. Autour de l'Allemagne serait tendue une ceinture d'Etats antigermaniques, qui, tous, au premier signal, feraient bloc avec les Alliés. Où a été le bloc, quand la Pologne a été en péril ? Les nationalités affranchies ont plus de jalousies, de rancunes, et même de crainte les unes à l'égard des autres qu'elles n'en ont à l'égard de l'Empire allemand. Aux Polonais, les Lithuaniens préféreraient le diable. Ils leur ont préféré les bolchéviks. Lettons et Esthoniens, petits peuples baltiques qui tremblent devant la Russie, se sont hâtés de faire leur paix avec les Soviets : l'égoïsme est la loi des faibles. Tous ces débiles Etats sont dans l'enfance, et cet âge est sans pitié. Quant aux Tchéco-Slovaques, il y a longtemps qu'ils l'ont dit par la bouche de leur ministre, M. Benès (...). Neutralité avec l'Allemagne, neutralité avec la Russie.(...)Est-ce sur l'Autriche qu'on peut compter pour fermer la boucle autour de l'Allemagne ? Cette petite Autriche, pièce détachée d'une grande Germanie, n'en est que le satellite. Une Autriche indépendante se comprenait, elle pouvait durer avec une Bavière, un Wurtemberg indépendants. Telle quelle c'est une chaloupe de l'Empire allemand. En attendant le moment de l'annexion pure et simple, qui achèvera l'unité allemande, l'Autriche rend déjà des services à la patrie germanique. L'alliance germano-russe, c'est peut-être par Vienne qu'elle va commencer. L'Autriche accueille un représentant des Soviets. C'est elle qui s'offre pour faire le pont. Elle est faible, elle apitoie les Alliés sur sa misère. Et, en dessous, ses socialistes pangermanistes font les affaires de la Prusse. (...)Le jour où les choses se gâteront pour de bon dans l'Europe orientale, nous savons ce qui nous attend. Nous n'avons personne sur qui nous puissions compter. Et la Pologne elle-même sera plutôt une charge qu'un appui. » (AF, 29 juillet 1920)
3 internautes sur 4 ont trouvé ce commentaire utile.
Enchanté
Par Louis D
Bien reçu dans les temps prévus, soit le 2 janvier 2012.Tout le monde devrait le lire pour comprendre notre histoire de 1919 à 1990 et plus.Parfait,Merci
No comments:
Post a Comment